Après une saison 1 vraiment sympathique, Koba films & l’Atelier d’Images proposent de redécouvrir la saison 2 de Lucky Man, encore summation réussie.
Maître de sa take chances, Harry Clayton retourne à ses enquêtes, jusqu’à ce qu’une nouvelle venue ne vienne troubler son quotidien. Avec la saison ii de Lucky Man, Sky1 keep de produire une série bouclée, bourrée de charme british où James Nesbitt rutile de plaisir devant la caméra, ça tombe bien, nous aussi.
On le rappelle, co-créée par Stan Lee et Neil Biswas, Lucky Man est une série procédurale teinté de super-héroïsme britannique. Loin des canons des habituels shows de super-héros, celui-ci se focalise sur les choix moraux d’un protagoniste fringuant de réalisme, dans des situations, certes déjà vues, mais joliment mises en place. Ainsi, le développement de cette seconde saison est un peu évident, les rebondissements facilement anticipés (sauf un twist last d’anthologie), mais on ne boude pas notre plaisir devant cette jolie danse, ce jeu du chat et de la souris parfaitement organisé.
Une sacrée veine
Du temps s’est écoulé depuis la première saison, permettant à Lucky Man de revenir d’une manière addition assurée, summation assumée. Sous couvert de combattre son addiction au jeu, le flic désabusé joué par le M James Nesbitt en apprend summation sur la manipulation de la risk, ses revers et retours de karma. Un contraste moral où le yin nécessite inéluctablement boy yang. De ce fait, la série psyche advise un duel manichéen et jouissif malgré sa prédictibilité, soyons honnêtes, avec 50’introduction de la belle Thekla Reuten. Une opposition originale, d’autant plus que fifty’actrice joue à la perfection une dichotomie maligne, passant du bien au mal d’un froncement de sourcils de ses yeux bleu hypnotiques.
Si le développement narratif se veut addition maîtrisé que dans la première saison, c’est parce que les enjeux sont summation intéressants. Les mises semblent summation conséquentes et nous plongent dans une partie de poker vivifiante. Déjà parce que le show s’améliore graphiquement, sans second’encombrer d’effets spéciaux dispensables, la violence hors champ est photogénique, laissant la place libre à 50’intrigue de fond. L’sense of humour noir britannique y est savamment utilisé et la dramaturgie beaucoup addition dense, maîtrisée, afin que la determination de cette saison fasse de Lucky Man une merveille inestimable.
Avec une tension folle dans les derniers épisodes, la saison two de Lucky Man est une réussite extrêmement attachante, préférant les complexités psychologiques pour psyche proposer une transformation héroïque. Un must have.